| Firme fondée à Puteaux par le comte A. de Dion assisté par les mécaniciens George Bouton et Trépardoux pour produire des véhicules à vapeur. Dix ans plus tard, la société se lance dans la production de voitures à essence équipées d'un moteur puissant avec un allumage par bobine et un rupteur mécanique. En 1899, apparaissent des voiturettes équipées d'un monocylindre transversal de 3.5 ch monté sur un châssis tubulaire et dotées peu après du célèbre essieu De Dion inventé par Trépardoux avant son départ de la société. Les moteurs évoluent progressivement jusqu'en 1903 où paraît un twin 8 ch. En 1905, sort une quatre-cylindres avec un châssis en acier en "U" et un radiateur à alvéoles, tandis que continue la production des voiturettes très prisées à l'époque. En 1910, De Dion lance une voiture complètement différente dotée d'un V8, l'une des premières voitures de luxe à être fabriquée en série sous des versions allant de 6 à 35 ch. Après la guerre, la marque décline progressivement et ne produit plus que des taxis, des véhicules utilitaires et quelques quatre-cylindres En 1923, sort la 10 CV familiale de 1 800 cm3 et en 1930, la dernière De Dion-Bouton : une huit-cylindres en ligne de 2,5 litres avec soupapes en tête. (La suite sur Histomobile) |
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